La marque espagnole Seat, propriété du groupe Volkswagen, n'évoque plus la possibilité d'entrer sur le marché automobile iranien, préférant se concentrer sur la croissance de ses principaux marchés en Europe, en Afrique du Nord et en Amérique latine.
La décision n'a pas été prise à la suite de la politique plus conflictuelle du président américain Donald Trump envers Téhéran, a déclaré un porte-parole de Seat./p>
Ce mois-ci, le président américain a en effet refusé de certifier l'accord international sur le nucléaire iranien convenu en 2015, et a averti que son pays pourrait finalement mettre fin à l'accord./p>
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