Devant les parlementaires allemands, qui ont été un peu brusques avec elle, la chancelière Angela Merkel a nié avoir été au courant des agissements de Volkswagen à propos des moteurs truqués.
L'ancienne ministre de l'Environnement a ainsi certifié qu'elle avait appris l'affaire « dans les médias le 19 septembre 2015 ».
La chancelière a ensuite expliqué qu'elle avait encouragé le ministre des Transports Alexander Dobrindt à faire tout son possible pour enquêter dans cette affaire, précisant avoir également eu une conversation téléphonique avec le patron de la firme de Wolfsbourg à l'époque, Martin Winterkorn.
« C'est un scandale qui touche Volkswagen, pas le gouvernement », a-t-elle ajouté. Ce scandale aura valu une amende de 4 milliards de dollars aux Etats-Unis pour le groupe automobile.
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