Les dashcams sont connues depuis de nombreuses années maintenant, elles font notamment fureur en Asie, et surtout en Russie, où elles permettent de combattre efficacement contre la corruption policière, les fraudes à l’assurance et les délits de fuite. Quand est-il en France ? Un flou juridique ne proscrit pas leur recours, et certains assureurs l’encouragent.
Il est dorénavant possible de mettre la main sur des dashcams qui sont de véritables bijoux de technologie, pouvant à la fois enregistrer ce qu’il se passe sur la route et dans l’habitacle (image et son), émettant un signal sonore en cas de franchissement de ligne ou de dépassement de la vitesse autorisée et surtout, enregistrant la plupart des données enregistrant les comportements de conduite. De véritables boites noires.
En France, utiliser une dashcam n’est pas interdit. La vidéo captée pourra même servir de preuve supplémentaire en cas de sinistre, à condition que celle-ci soit datée et géolocalisée avec précision.
L’assureur Amaguiz (groupe Groupama) encourage par ailleurs le recours à ce genre d’appareil. En octobre dernier, il a même dévoilé un partenariat avec Coyote, la célèbre application d’aide à la conduite. Tout souscripteur voit ainsi sa prime baisser de 10%, et obtient une ristourne sur l’achat d’un Coyote S (avec dashcam intégrée). Selon l’assureur, la démarche a aussitôt permis une meilleure gestion des sinistres.
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