Carlos Ghosn, qui a quitté ses fonctions de président-directeur général de Renault, risque de se séparer du constructeurs automobiles en empochant plusieurs millions d’euros au passage, alors même qu’il se trouve dans une prison de Tokyo, accusé de crimes financiers.
Le conseil d’administration de Renault et Ghosn ont signé en 2015 un accord de non-concurrence d’une durée de deux ans, qui entrerait en vigueur au moment où il quitterait l’entreprise.
Si le conseil d’administration choisit d’activer cette clause, Carlos Ghosn aura droit à deux fois son salaire et une rémunération variable, d’un montant d’au moins 5 millions d’euros.
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