Une enquête française sur une fraude présumée aux émissions de véhicules Renault est sur le point de faire l’objet d’une action en justice après qu’un rapport technique ait confirmé que certains de ses moteurs diesel étaient configurés pour émettre davantage de polluants en dehors des conditions de test officielles, a fait savoir Le Monde ce lundi 13 mai.
Après que Volkswagen eut reconnu en 2015 avoir installé un logiciel sur ses moteurs avec des « dispositifs de neutralisation » pour tromper les tests diesel aux États-Unis, plusieurs États européens ont ouvert des enquêtes.
Ils ont trouvé des émissions d’oxydes d’azote (NOx) sur la route plus de 10 fois supérieures aux limites réglementaires pour certains modèles Opel, Renault et Fiat Chrysler, ainsi qu’une utilisation répandue d’appareils réduisant ou interrompant le traitement des gaz d’échappement lors d’une utilisation normale.
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