Le syndicat français CGT a appelé à plus de transparence chez Renault et son holding néerlandais RNVB et a demandé au gouvernement français, actionnaire du constructeur, de tenter de faire la lumière sur son fonctionnement.
Renault et son alliance avec Nissan sont sous les feux de la rampe après l'arrestation de l'architecte de ce partenariat, Carlos Ghosn, au Japon, à la mi-novembre, alors que son revenu de Nissan avait été sous-estimé.
La CGT a écrit début décembre au ministre français de l'Economie, Bruno Le Maire, pour lui demander de faire la lumière sur la manière dont Renault avait géré l'affaire et dénoncer le manque de transparence de RNBV, une société de holding commune aux deux constructeurs, a rapporté jeudi FranceInfo.
Les porte-parole du cabinet ministériel de Bruno Le Maire ainsi que celui du constructeur Renault ont refusé de commenter.
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